dimanche 15 avril 2007

LA VIE EST TELLE QUE NOUS LA FAISONS


Ce matin, je me suis réveillée de très mauvaise humeur. Pourquoi en faite je l'ignorais, il ne faisait pas beau, le réveil avait sonné trop tôt. Bref ! plein de raisons pour râler, peut être en fait j'avais décidé que cela n'allait pas bien.
Le soleil s'est levé derrière ma colline, j'aime bien voir le lever du soleil sur cette montagne, les ombres qui s'allongent et donnent vie au paysage.
Soudain, un oiseau s'est cogné contre ma vitre. "Grogui" il est tombé au sol, je suis allée le ramasser, petite mésange. Les yeux fermés, elle ne bougeait pas. Doucement, je lui ai caressé le ventre. Elle a ouvert les yeux, un peu surprise, étonnée, elle ne chercha pas à s'envoler. Le pouvait elle ? Peut être pas... en tout cas, elle me regardait essayant simplement à se remettre sur ses pattes.
Perchée sur mon pouce, elle penchait la tête d'un côté puis de l'autre semblant me scruter. Un étrange sentiment m'envahit... comme ci elle était arrivée contre cette vitre "pour me dire, tu vois tu étais de mauvaise humeur, et pourtant regarde comme la vie est belle, j'ai failli mourir contre ce carreau".

Il suffit d'un coup d'ailes pour s'envoler et retrouver l'immensité du ciel, l'immensité de notre vie. En fait nous ne savons pas apprécier tous les moments de celle-ci. Accablés par nos sentiments de découragements, de doutes, de peur, d'angoisses, de choses qui n'arriveront d'ailleurs certainement jamais ou en tout cas pas comme nous l'avions imaginé.

Pourquoi ce matin étais-je de mauvaise humeur, pour rien... je ne savais pas apprécié, le fait, juste d'être en Vie. D'avoir la possibilité de manger, de boire, de dormir dans un lit, d'avoir chaud. De pouvoir regarder librement le ciel, de regarder le soleil, de n'avoir pas peur d'être agressée à mon lever.
Et parce que le réveil n'avait pas sonné, parce que je n'avais en fait pas envie de me lever; j'étais grincheuse.

La petite Mésange s'était installée sur l'arbre et picorait les graines du mangeoir, heureuse de vivre, heureuse de pouvoir à nouveau chanter.

La vie en fait nous la faisons telle que nous la voyons.... mais Elle est là, elle palpite sous nos doigts, notre coeur et notre âme, sachons l'apprécier, la regarder, l'aimer.
Qu'en pensez-vous, j'attends vos commentaires, c'est votre blog ne l'oubliez pas.

mardi 6 mars 2007

LES RENCONTRES


Il y a des rencontres qui surprennent, ces rencontres au détour de votre vie. Ce clin qui vous fait sourire, rire ou même peut-être pleurer. En fait, rien ne vous prépare aux rencontres qu'elles soient amoureuses ou amicales, qu'elles soient dans la hâte ou la lenteur.... Ces rencontrent arrivent en rafales tel un mistral, un ouragan, une brise, caressant ou fouettant votre joue.
C'est ce sourire dans les yeux que vous admirez, et par leur bouche leur âme qui parlent de leurs yeux.
Attentifs à cet instant qui palpite, personnage égnimatique, vous attendez avec gourmandise, le mot, le sourire, le rire, ou la colère qui feront de cette rencontre, une rencontre.

Aujourd'hui, j'ai parlé avec une femme très longuement au téléphone, je ne l'ai jamais vue.... et pourtant ce long dialogue au bout de ce téléphone, cette voix connue et inconnue fait que c'était LA RENCONTRE.
Certes une amitié qui s'ébauche, qui se profile à l'horizon - et des horizons nous en avons partagé - , nous avons voyagé dans le monde des humains et dans le monde des "esprits", n'allez pas confondre de l'Esprit, pas des esprits....

Il faisait un temps bizarre derrière ma fenêtre, et l'arbre qui attend le printemps dans mon jardin, soudain s'est animé, je voyais des feuilles .... non je n'avais pas d'hallucinations, c'étaient bien des feuilles, des pousses, ces pousses qui grimperont vers le ciel. Je me suis fait la réflexion de me dire
"tiens ! on dirait comme l'amitié naissante que j'ai au bout du fil", invisible fil, invisible pousse, mais qui palpite dans le vent.

Voilà ma rencontre d'aujourd'hui .... il y a eu tant d'autres.... certaines sont restées, d'autres se sont envolées... d'autres sûrement oubliées.... d'autres disparues... mais toujours elles ont été....

Racontez moi vos rencontres, pourquoi elles furent une Rencontre
Je vous le rappelle je ne fais que partager des mots certes, mais au travers de ceux-ci, il y a Vous et c'est cela qui m'importe.

mercredi 28 février 2007

LA PEUR

Que faisons-nous de nos peurs, ces peurs qui nous traversent et parfois nous paniquent complètement. Ces peurs qui ne sont pas forcément les nôtres mais que nous transportons en héritage familial.
Toutes ces peurs conscientes ou inconscientes, nous empêchent de vivre pleinement notre vie.
Peur ..... peur.... peur... on entend plus que cela, peur du chômage, peur du voisin, peur de son patron, peur de ses parents, il y a tant de peurs que nous ne savons meme plus les identifier.

Nos petites lâchetés par peur du ridicule, nos faux semblants par peur d'être jugé.
A voici le mot lâché "juger".
Le regard de l'autre est si important dans notre vie, "qui n'a pas fait son ménage à fond, parce qu'on avait une visite et qu'on avait peur d'être juger ...."
Ce jugement qui nous fait remonter l'arbre de notre insconscient et qui rejoint nos culpabilités - j'y viendrais plus longuement sur cette culpabilité-
Pour une raison inconnue , j'ai peur de l'orage, ce gros roulement de tambour qui me projette dans la "nuit des temps". Cet éclair qui foudroie les arbres, où les maisons. Je m'enfuis, je me bouche les oreilles. J'AI PEUR.

Rien n'y fait, ni les mots rassurants, ni les moqueries, je reste avec ma peur clouée dans mon ventre, ces frissons qui descendent de la colonne vertébrale. Une peur ancestrale oui, venue du fond des âges.

Je connais une personne qui a une peur panique des serpents, elle ne peut même pas en voir une en photographie dans un magazine et encore moins à la télévision, je ne vous parle même pas en vrai.
Pourtant jamais aucun serpent ne l'a mordu.
D'autres on peur des araignées, des souris, des insectes ou des papillons de nuit, qui n'a pas ses peurs plus ou moins avouées.

Et vous quelles sont vos peurs, et que faites vous pour y remédier ?

mardi 27 février 2007

Petites digressions paresseuses sur la paresse ....par Mino


La paresse... ou le courage.... par lequel des deux commencer, puisque c’est pareil !
- pareil, me direz vous ?
- mais oui ! l’un ne va pas sans l’autre !
- mais tu débloques complètement, Mino !
- réfléchis un peu... connais tu des situations où on ne mets pas en parallèle courage et paresse ?

- oui, lorsqu’il s’agit de faiblesse !
- Ok. Mais la faiblesse n’est elle pas tout simplement de la paresse ?
- Alors la, tu y vas fort ! mais.... j’ai beau réfléchir, effectivement, je ne vois pas !
- Le courage est il un plaisir ?
- Heu.... non, pas vraiment, c’est de la bravoure, c’est une force... on se force à être courageux, ce n’est pas notre nature !
- Pas plus que celle des chats... et on ne leur reproche rien, aux chats !
- Lorsqu’on doit faire quelque chose avec courage, le fait on avec plaisir ?
- Pas toujours... mais ça peut arriver !
- Soit ! tu mets tout ton courage dans la balance, ou plutôt dans le fléau d’une balance, et tu y mets ta paresse dans l’autre fléau... qui gagne ????
- Heu... tu parles en plaisir, ou en force ?
- Grande question que là.... si tu y mets ton courage et ta force, il va te falloir beaucoup de force pour que ça te fasse plaisir, et encore, pas toujours ! alors que la paresse.... il n’en faut qu’une demi plume pour ressentir un bien être.... mmmmmm !!!!!
- Ouais.... sauf que du coté paresse, tu vas y trouver la culpabilité !
- Tu as raison, et la, ça fait le poids, si j’ose dire !!!!!
- Ça fait même un poids énorme !
- Laisse moi te raconter quelque chose ! lorsque j’étais enfant, on me disait paresseuse... ou fainéante. Forcément, cela me culpabilisait au plus au point ! moi, que le désir de plaire tenaillait, comme tous les gosses qui croient que la vie est faite pour accomplir le mieux possible le "devoir" de plaire à son entourage, je me sentais honteuse à mort.... d'autant plus que je ne comprenais pas ce dont on m'accusait ! je travaillais autant que les autres, et peut-être même plus !!!!
A l'école, c'était toujours : Mino est paresseuse ! Mino peut mieux faire ! elle est douée, mais ne mets pas tout en œuvre ... bref, j'étais l'animal mal léché, au caractère impossible, dont on ne ferait jamais rien.... j'ai vécu ça jusqu'à ce que j'ai mon premier diplôme... et même au delà ! aujourd'hui, ma mère encore me dit que je travaillais toujours dans l'urgence... je ne sais pas si elle a raison, mais ce que je sais, c'est que j'ai besoin de temps pour passer à l'acte, et que j'ai appris à ne pas me précipiter sur tout ce qui bouge...
Je dirais donc que maintenant, si paresse il y a, elle est maîtrisée....

Revenons donc avec courage à notre paresse ... c'est vrai qu'il est beaucoup plus délicieux de s'asseoir dans son canapé (ou même s'allonger ! ) avec un bon bouquin, un bon film, que faire la vaisselle, le ménage, ou même aller bosser ! que c'est un véritable délice de contempler les beaux paysages qui nous entourent, et que, soit dit en passant, nous passons notre temps à détériorer, mais là n'est pas mon propos.... qu'il est plaisant de goûter la tiédeur de l'air, ou sa fraîcheur, de s'aveugler sur un soleil naissant ou couchant, ou de faire le vide dans sa tête, ne penser à rien, songer, rêvasser, fuir le quotidien, celui qui pèse...

Notre statut d'être humain ne revendique t'il pas celui de paresse ? la paresse n'est elle pas la récompense du courage mis pour accomplir toutes ces tâches dont nous nous passerions bien ?

Oh que si ! alors, la paresse, qui apparaît au palmarès des sept péchés capitaux (ô quel délice de te trouver là !!! ) est elle à ce point dangereuse qu'elle y justifie cette place de choix dans le bréviaire (de ce qu'il ne faut pas faire) de l'ère judéo-chrétienne qui nous lie pieds et poings (et surtout cerveau) depuis 2000 ans... et plus, si affinités ?

Dans ce cas, oui, je revendique pratiquer la paresse. Avec délice. Avec bonheur. Avec joie. Et ma paresse à moi, c'est ma liberté. C'est celle de lire lorsque j'en ai envie, d'écrire lorsque cela me prend, de jouer, de peindre, de rêver, de contempler, de réfléchir... et de travailler, oui, vous avez bien lu, de travailler. Mais dans ce cas, mon travail devient plaisir, et vous n'imaginez pas ce qu'un paresseux peut faire lorsqu'il se met au travail.......

samedi 24 février 2007

LA PARESSE


"Qu'il est doux de ne rien faire quand tout s'agite autour de soi"
je suis certaine que dans ce message, Vous vous y retrouvez aussi.
Après le courage, vient la paresse ? Faut il se culpabiliser de la paresse, ce plaisir infini ...
Là devant Vous, un monticule de choses à faire qui vous nargue... la pile de repassage, le courrier qui s'amoncele si ce n'est pas celle de la vaisselle.
Mais Vous, vous regardez tout cela avec un oeil qui ne voit rien...
Non, le seul "courage" que vous ayez est de se mettre dans le canapé, prendre un livre même pas, regarder la télé encore moins. Cela demande de l'attention, et vous n'en avez guère envie.
Ma mère appelait cela dans le temps "rêvasser".... à force de rêvasser, votre tête dodeline... les paupières deviennent lourdes, et le sommeil vous gagne.
Le rêve s'installe .... "ha, vous êtes en plein boulot dans votre rêve, vous travaillez et plus vous travaillez, plus vous avez l'impression de rien faire.... quelle bizarrerie, travaillez et avoir l'impression de ne rien faire", cela ne vous rappelle-t-il pas quelque chose à votre subconscient qui de ce fait réveil votre conscient.
Ha, je me suis endormie une heure.... le travail est toujours là.... et d'un seul coup un soupçon de culpabilité traverse votre esprit.
Culpabilité, c'est un mot sur lequel, je reviendrai plus tard. Pour le moment, si j'ose dire, occupons nous de notre paresse....
J'aime bien le dictionnaire, cela me remet souvent les idées en place :
Paresse : (lat.pigritia) 1. Répugnance au travail, à l'effort; goût pour l'inaction : oisivité, fainnéantise.
2. Manque d'énergie dans une action, apathie. (dixit.Larousse)

Très bien j'applaudis, mais moi je trouve qu'il faut déjà avoir beaucoup d'énergie pour être paresseuse, s'allonger sur le canapé, réfléchir à ce que l'on pourrait bien faire, demande beaucoup d'effort.

En tout cas, j'ai adoré ce moment de paresse qui m'a redonné toute mon énergie. Et vous ???? goûtez-vous ces moments de paresse ?

jeudi 22 février 2007

LE COURAGE

Merci les amis, amis de passage, amis de toujours, amis en devenir, merci de venir faire un petit coucou de votre plume, cela me touche.

Mon humeur du jour est taquin, je me suis réveillée à Cinq heures du matin, parce que ma chienne Volga grattait à ma porte, dame nature n'ayant point d'heure pour elle apparament.
Un peu maussade, je me suis levée, grommelant jusqu'à la porte donnant sur le jardin. Un petit vent froid me surpris et fini par me réveiller tout à fait, les étoiles étaient encore accrochées dans la nuit noire. Inutile de retourner dans mon lit, un petit tour dans la cuisine et j'appuyais sur le bouton "café" sans oublier non plus le "bouton ordinateur".

Le ronronnement du disque dur qui s'allume et le goutte-à-goutte de l'eau de la cafetière me redonnèrent du courage.
Courage, le mot est lancé COURAGE, qu'est ce que le COURAGE ?
Définition du Larousse ""Force de caractère, fermeté que l'on a devant le danger, la souffrance ou dans toute situation difficile à afonter". "Prendre son courage à deux mains" "faire appel à toute sa vlonté, son énergie pour surmonter ses appréhensions, pour oser faire qqch. 2 Ardeur, Zèle pour entreprendre qqchose, envie de faire qqchose. .... Avoir le courage de ses opinions, ne pas hésiter à les manifester, à s'y conformer" ouf ! fin de citation.

Je trouve que le dictionnaire "parle bien", mais y a t il du courage, à se lever le matin ? à faire ses choses machinales qui font notre quotidien....
Avoir le courage de dire les choses ? Dit on vraiment ce que l'on pense ?
Je ne sais pas si c'est du courage, de la survie, ou bien encore si il s'agit simplement de gestes machinaux.
Qu'est ce que pour Vous le Courage ?
Acte héroïque, acte quotidien, acte exceptionnel, qu'est ce que pour vous le courage ? et qu'est qui fait la différence entre le courage et la motivation ?
Allez partagez vos idées, le monde est trop fait de sourds et de muets, à bientot et merci

mercredi 21 février 2007

LA DISPUTE


La vie n'est pas toujours rose, ni bleue, si ce n'est qu'on a des bleus à l'Ame. Instant de crise, vous cherchez alors querelle à celui qui se trouve à côté de Vous. Pourquoi, en fait vous ne savez meme pas ! Juste pour vider cette boule qui est au creux de votre estomac.... et des sujets de disputes il y en a plein, les chaussettes qui ne sont pas rangées, le livre qui traîne, la porte qui est mal fermée, la pendule qui n'est pas à l'heure. Qu'importe car Vous, vous avez envie de remettre les pendules à l'heure.
Le moindre prétexte et vous voilà partie dans vos tirades favorites, longue lithanie de mots incompréhensibles pour l'autre.
Essoufflée par votre tirade, vous vous arretez juste un petit instant, le temps que votre victime puisse vous dire un mot de protestation ou de répartie. Là vous attrapez la balle au bond, et vous redémarrez dans votre querelle qui n'a pas d'histoires... que celle de votre mauvaise humeur.
Puis reprennant votre lucidité, vous avez envie de rire, vous vous sentez ridicule, puérile et stupide. Pourquoi tant d'histoires pour rien, pourquoi tant de cris inutiles ?
Seulement, votre sourire sur les lèvres, cette fois-ci agace encore plus votre victime, "Comment en plus vous vous moquez de d'elle".... et ce sourire qui ce veut réconciliation devient provocation. Vous avez réussie, l'autre est vraiment en colère, et il contre-attaque, surpris par cette riposte, vous vous sentez insultée et blessée, fâchée cette fois-ci pour de bon une vraie dispute s'engage...
Il n'y a pas de médicaments pour guérir les bleus à l'Ame.... et en tout cas cette méthode est pire que le mal.
En fait, n'aurait il pas mieux fallu commencer par le sourire simplement.

Vous est il arrivé à Vous aussi de chercher querelles là où il n'y avait aucune raison d'Etre, juste celle de vous soulager Vous.
Merci de vos témoignages.

mardi 20 février 2007

Qui suis-je ? par mino


Je suis un être fait d’ombres et de lumière.
Je suis faite de noir et de blanc, de yin et de yang, de bien et de mal, de sourires et de rires, et de pleurs et de chagrins... de joies et de peines, de vie et de mort...

Je suis l’infiniment petite cellule de ce grand tout qu’est l’Univers. Certains l’appellent le cosmos, d'autres le déifie, et dans ce désordre, dans ce chaos provoqué un jour par un incertain big bang, nous serions nés de cette immense explosion, et nous sommes la, aujourd’hui, pour se demander.... qui suis-je, ou vais-je, (je vous éviterai "dans quel état j’erre"...)

Peut-être suis-je une étoile ? une boule de feu qui réchauffe nos cœurs... ou encore une flamme, qui fait brûler la bougie de la vie, une lettre dans l’alphabet universel, un cœur dans un ensemble de cœurs... une voix, une voie, que sais-je encore ?

Ce que je sais, c’est que je suis vivante après des années de mort, je suis rêveuse après des années de cauchemars, je suis guérie après des années de maladie.
Ma vie est un bonheur sursitaire de tous les instants... je ne veux plus rien laisser passer, plus rien rater, plus rien perdre des immenses petits bonheurs qui font la vie...

Le temps s’égrène, s’agite, et nous nous agitons autour de lui dans un tourbillon propre à faire perdre tout sens de la mesure... la mesure du temps... tic-tac sur la montre, l’horloge, la pendule de la vie qui distille ses secondes dans un rythme qui peut nous paraître, selon notre humeur, interminable, ou effréné...

Mais je n’ai pas oublié que je suis. Que j’existe ! que je suis un chemin ! m’est il tracé ou non ? puis-je en dévier ? puis-je suivre, à mon gré, les sentiers d’une école quelque peu buissonnière qui m’en apprendra toujours plus que ce que l’école des hommes ne pourraient m’instruire ? seule l’école de la vie peut m’enseigner ! mais jamais elle ne me dira véritablement ce que je cherche ! j’ai toute ma vie pour le découvrir !

Et telle une course au trésor, j’ai toujours peur de ne pas avoir assez de temps pour trouver....

En somme, je suis peut-être une chercheuse de temps ?????

UN DOUBLE, UNE SOEUR, UNE AMIE, ENFIN UN ETRE QUI VIT ET QUI LE DIT


Tu te seras reconnue amie qui est mon double, ma soeur, celle sur qui je peux épancher mes peines, mes joies, mes doutes, mes certitudes, mes colères et mes rires.

Tu te seras reconnue celle à qui je peux tout dire et qui souvent devance mes pensées.

Tu te seras reconnue celle qui ne sait pas juger, celle qui a souffert aussi dans sa chair, celle qui à des rêves plein sa tête...

Tu te seras reconnue car tu es unique dans mon coeur, impossible jumelle qui n'a pu être conçue en même temps que moi et pourtant âme double dans le temps.

Ah ce temps que nous nous disputons !!! c'est la seule chose que nous ne partageons pas, cette notion du temps, qu'importe puisque nous sommes hors du temps. Avons - nous besoin d'espace et de lieu et d'heures pour être ensemble ?

Voilà mon amie, cet espace t'es réservé mais il est étriqué dans ce cadre et un lieu donnés, alors je te laisse libre de venir me retrouver, car toi et moi, aimons la liberté.


Je suis certaine que vous aussi vous avez des ami(es) sans qui rien ne pourrait être possible, sans qui rien n'aurait de goût, sans qui rien ne saurait être vrai, authentique, sans qui rien ne pourrait exister.

Parlez -moi de vos amis afin que nous puissions partager vos rires, vos peines et vos joies.

En attendant recevez mon clin d'oeil amical

lundi 19 février 2007

TOI AMI DE PASSAGE regarde les oiseaux dans ton jardin.


bonjour ami qui venez me voir, merci d'avoir porter vos pas ici, ce matin il fait beau, et fait il beau aussi dans votre Coeur ?
Le printemps arrive bientôt à nos portes, et déjà j'entends dans mon jardin les oiseaux qui chantent différement. Si vous avez un jardin, regardez vous les oiseaux qui sautillent sur vos plante-bandes ?
J'ai la chance d'avoir plein d'oiseaux différents, des rouge-gorge, des pinsons, des bouvreils, des mésanges, des pies, des tourterelles, des verdiers, et aussi un nid de faucons crécelles. La nuit, il y a aussi le Hibou et la chouette qui taquinent l'obscurité de leurs cris surprenants.
Chacun ont leurs territoires et leurs rituels, on ne partage pas la même mangeoire !
Bien sur mon chat Petrus les regarde avec envie, mais il sait qu'il ne saura jamais assez agile pour les attraper.
Et il y a les laisser pour compte, ceux qui n'ont pas le droit d'approcher la mangeoire, alors ils picorent les graines tombées sur le sol.
Cela ne vous rappelle pas quelque chose ?
Ceux qui picorent les restes que les autres veulent bien leur laisser.
On a mis une troisième mangeoire, mais rien à faire, ils sont chassés impitoyablement...
J'ai mis un peu plus de graines par terre, mais les autres qui mangent dans les mangeoires cette fois-ci se battent avec ceux qui avaient le droit de manger leurs restes.
La solution a été de mettre des graines loin beaucoup plus loin... mais toujours au sol....
En fait, les hommes se comportent comme nos oiseaux, c'est la réflexion que je me suis faite. Et vous qu'en pensez-vous ?

MICHEL F1 PASSION MAIS DE TOUTES LES PASSIONS


Bonjour mon ami,
Merci d'avoir laissé trace de ton amitié sur cette page, toi l'Ami qui n'est pas de passage.
Merci d'écrire chaque jour une histoire dans mon coeur
Merci d'etre ce qui fait aussi mon Bonheur
Ami qui roule de ses passions et surtout de F1
Tu es pour moi aussi un ami bolide
Qui fonce pour tous et chacun
Et qui reste toujours très solide
Enfin toi l'Ami qui vient à coup sur
Dans les moments les plus durs
Partager cette page qui n'est plus blanche
Mais couverte de fleurs du dimanche
Viens écrire au gré de ces pages, tes envies, tes passions
tes émotions,
Merci Michel l'Ami fidèle

A DIGI

Toi ami qui a partager cette page dis moi qui tu es ?
Le fauteuil qui t'attend près de ma Cheminée avec un chocolat, thé ou café, biscuits, madeleine ou gâteaux bien chaud. Le chat ronronnant sur tes genoux, quels sont tes goûts, tes rêves, tes idéaux ? Partages tu avec moi, le ronronnement de mon chat, les rires des enfants ? Ou au contraire, préfères tu la nuit tombée où les étoiles scintillent dans le firmament, douce lumière, silence ... et feu qui crépite ? Aimes tu la ville avec son brouhaha de voitures qui circulent, d'éclats de voix.
Préfères tu la campagne et le bruissement des feuilles dans les arbres balayées par le vent ?
La mer peut-être, le ressac, le clapotis au clair de lune ou encore la tempête, et le ciel déchirant ...
Ah j'oubliais la montagne, silence enneigée de blanc, hauteurs vertigineuses où l'on croit s'envoler. Marche difficile et souffle coupé afin d'atteindre les sommets de la terre pour mieux atteindre le ciel.
A bientôt de te lire

QUI ETES VOUS ?

Qui êtes vous , Vous qui lisez ces pages, un curieux, un habitué, un chercheur d'âme, ou tout simplement un humain ? Qui êtes-vous pour chercher dans les yeux de l'Autre, la lumière qui vous manque ce matin dans les Vôtres ? Peut être tout compte fait, vous avez bien déjeuné, beurré vos tartines. Vous avez regardé le soleil se lever, comme moi, ce matin dans la brume, un rayon qui voulait à tout prix pointé son museau au-dessus des nuages ?
Peut être êtes-vous de mauvaise humeur, car vous n'avez pas pu avalé votre petit déjeuner, trop pressé, regardant avec anxiété votre pendule. Cette maudite pendule qui marque Votre temps, esclave de votre vie,
les enfants dans les jambes courant partout.
Qui Etes-vous ? tranquillement installé devant votre ordinateur ? ennui, solitude, tristesse, joie, tout cela mélangé dans un instant de clic.
Qui Etes-vous pour venir partager ce lien qui nous uni, juste un moment, ami ?
Pouvons-nous au travers de ces lignes noires qui gravent le papier, être dans Notre Vérité. Pouvons-nous sans détour, sans hypocrisie, sans honte, tout en restant authentique, partager nos émotions ?
Pouvons-nous rester vrais à travers un blog ? Sommes nous vraiment nous memes ?
A vous plumes ....

pourquoi encore un blog

Encore un blog, pour dire quoi, pour faire quoi, un lien, une image, quelque chose qui s'envole dans l'espace... des mots... encore des mots... qui agaceront certains, qui plairont à d'autres... qui laisseront indifférents ou ou au contraire seront intéréssants.. Pour l'instant pas de concept général, la vie est une succession de sentiments pêle-mêle, ce blog le saura aussi, jusqu'à ce quelque chose se dessine tout seul.
Il faut de tout pour faire un monde.... et ce monde est en moi, comme en vous, chacun peut y trouver sa place.